Cher(e)s adhérents bonjour,
Rappel pour ceux qui ne l’aurait pas encore signé le lien pour la pétition contre le sens unique Pessac reportant les flots de véhicules vers les rues adjacentes : Ségur-Treuils-Saint Genès etc..
https://www.change.org/Collectif-Ségur-Treuils
1- CIRCULATION : Martha Mané et moi-même avons rencontré le lundi 18 octobre dernier Denis Lherm, journaliste au journal Sud Ouest pour lui faire part du mécontentement de tous les riverains du quartier face aux décisions unilatérales de la Mairie en matière de circulation et de mises en sens unique de rues ainsi que de changement de sens de circulation générant un accroissement massif du volume des véhicules dans les rues adjacentes…Voir les rues de Ségur et de Treuils mais aussi la rue Saint Genès. Un article très intéressant intitulé : <<Circulation : ces rues qui grondent>> parait ce jour 22/10 dans une double page (p 18 et 19) dans le journal Sud Ouest. Denis Lherm relate des problématiques identiques à la notre dans différents quartiers bordelais avec un ressenti des habitants qui converge totalement avec nos propres préoccupations. Vous trouverez ci dessous un extrait de cet article… une illustration : ce matin à 7 h 30 la rue Saint Genès :
Après de multiples mails envoyés à notre Maire adjointe et à Didier Jeanjean, nous obtenons enfin un rdv fixé au mardi 26 octobre à 16 h 30 ou peut-être aurons nous quelques informations éclairantes sur le plan de circulation de notre quartier ?
Extrait Sud Ouest du 22/10/2021 Article rédigé par dénis Lherm :
<<Après la fronde soulevée par la mise en sens unique du cours de la Somme et de la rue de Bègles, en février dernier, un nouveau vent de colère est en train de se lever dans le quartier de la rue de Pessac. Depuis le 25 juin, une petite portion de cette longue rue est en sens unique (sortant), afin de dégager de la place pour le couloir de bus.
Sans surprise, le trafic automobile s’est aussitôt reporté sur les petites voies du quartier, notamment les rues de Ségur ou des Treuils. Au point de rendre la vie des habitants « impossible, une horreur », selon l’un d’eux. Depuis quelques jours, une pétition au nom de « Sauvons notre quartier ! » circule sur le site Change.org. Elle dénonce une situation aberrante et dangereuse.
« On fait des expériences et, s’il faut revenir en arrière, on le fera. C’est une nouvelle méthode, on essuie les plâtres »
« Rien, aucune réponse ! »
« Notre quartier compte sept établissements scolaires, soit 4 500 élèves – c’est celui qui a le plus grand nombre de collèges. Il y a aussi l’institut Bergonié, le jardin des Dames-de-la-Foi, très fréquenté par des familles et des enfants. Depuis la mise en sens unique du début de la rue de Pessac, la circulation dans les rues adjacentes a été multipliée par quatre », alerte Lionel Grossmann, président de l’Association des Riverains du Quartier Saint-Genès (ARQSG).
Lequel se plaint de ne pouvoir joindre facilement les élus du quartier. « Nous avons écrit à tout le monde, à Pierre Hurmic, à Fanny Le Boulanger, Didier Jeanjean… Rien, aucune réponse ! » poursuit-il. En fait, quelques contacts ont eu lieu, mais « à chaque fois, les élus s’abritent derrière des études demandées à la Métropole ». Et, pendant ce temps, les petites rues voient passer de plus en plus de voitures en transit.
« Un scandale »
Autre front à Caudéran et Saint-Augustin, un vieux foyer jamais éteint qui vient de se raviver : celui de l’extension du stationnement payant. L’Association bordelaise de défense des résidents pour un stationnement payant raisonné (ABDRSPR) est ressortie outrée de la séance du conseil municipal, le 5 octobre. La municipalité vient de distribuer un questionnaire dans les rues situées à proximité directe des boulevards, où le stationnement payant pourrait être instauré.
« Ce questionnaire est un scandale, il est totalement orienté. Il est écrit que la zone bleue, ça ne marche pas. Or, à Bègles et à Talence, ils l’ont adoptée et ils vont même l’étendre », s’emporte Michel Bélondrade, vice-président de l’ABDRSPR. « Au conseil municipal, Didier Jeanjean a parlé de constat partagé, d’avancées significatives, mais nous ne sommes pas du tout d’accord ! La mairie n’a retenu aucune de nos propositions ! » Le président Michel Toury ajoute : « Nous voulons juste discuter les modalités et faire admettre les spécificités de nos quartiers ». Comme rue de Pessac, le même sentiment de ne pas arriver à se faire entendre de la mairie.
« On essuie les plâtres »
Rue de Bègles et cours de la Somme, le « mail bombing » (le fait d’inonder une boîte mail) de protestation dure depuis neuf mois. Alors qu’elle professe la démocratie de proximité, la mairie de Bordeaux est elle en train de se mettre les quartiers à dos ? « Le mail bombing, je connais, je faisais pareil quand j’étais militant ! » s’amuse Olivier Cazaux, maire adjoint du quartier Saint-Jean.
Aujourd’hui aux manettes, il relativise les colères qui s’expriment : « Il y a 31 000 habitants à Bordeaux-Sud, on parle d’une pétition de 340 signatures… On a recueilli 1 200 avis sur le site de participation concernant le cours de la Somme et rue de Bègles. On a même embauché quelqu’un pour dépouiller tout ça ! On fait des expériences et, s’il faut revenir en arrière, on le fera. C’est une nouvelle méthode, on essuie les plâtres. »
« Aucune pression »
À Saint-Augustin, le cas du maire adjoint Dominique Bouisson est symptomatique des difficultés de la mairie à tisser des liens avec le terrain. Cet avocat a conservé sa profession : « Je ne fais pas de la politique un métier ». Du coup, certains se plaignent de ne pas le voir. Pas facile ici de passer après Jean-Louis David (maire adjoint sous l’ère Juppé-Florian), qui arpentait le quartier 365 jours par an, de jour comme de nuit. « Je n’ai pas la même disponibilité que lui, c’était sa vie. Si quelqu’un veut me voir, je le reçois. Mais je ne cherche pas la notoriété », concède-t-il. Un autre élu révèle que Pierre Hurmic ne met « aucune pression » sur les maires adjoints. Tout l’inverse de Juppé, qui imposait aux élus et aux services de répondre vite aux habitants.>>
2- VITESSE ET PRIORITÉ À DROITE : comme vous le savez, la mairie impose petit à petit une vitesse limitée à 30 kms/h dans toutes les rues bordelaises avec un principe de priorité à droite sauf exception. Du coup, on constate la disparition progressive des feux ainsi que de la signalisation . Le non respect de ces deux principes provoque des accidents parfois surprenant. Exemple, hier matin à l’angle des rues Mazarin et Pavillon, un non respect de la priorité à droite du véhicule venant de Mazarin et coupant la route du véhicule roulant sur rue du Pavillon (probablement à plus de 30 kms/h !) : heureusement pour cette fois ci que des dégâts matériels…
PROPRETÉ : un constat malheureusement récurrent de la saleté de nos rues dû à l’inaction des services de voiries en matière de nettoyage mais aussi à l’incivisme de certains habitants.. Nous faisons remonter l’information aux services Bordeaux Métropole.. Les poubelles stagnantes avec des déchets sur les trottoirs, avec ces derniers jours un manque de personnel ayant généré le non ramassage des poubelles.
3-Un Nouvel Événement : tous les jeudi soirs de 18 h 30 à 21 h à l’Espace Beaulieu (145 rue Saint Genès) -Les Heures Diwines. Des vins bières et boissons bio non alcoolisées, des tapas, des artistes bordelais issus d’orchestres et de formations régionales..
4- Concertations dans le quartier
Prochains rendez-vous
Bonjour
Il en est de même, voire en pire aux carrefours de la rue Belleville avec Tondu et Mouneyra .
Les autos déboussolées par la stupidité du sens changé au carrefour Tondu-Belleville venant du boulevard prennent le sens nouvellement interdit vers le cours de la Libération, trompés par l’habitude et….les buts qui eux gardent le chemin….normal !!!
Il y’a déjà eu pas mal d’accidents !
Il y a pétition au bar journaux à l’angle Tondu Belleville .
La stupidité au pouvoir !!
Courage
JP Clarac